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Le matériel est chiné dans mes réserves:

  • feutre beige pas trop épais
  • papier cartonné kraft
  • boutons recouverts de chutes de lin
  • stylo Posca blanc, stylo argent
  • quelques perles en cristal et/ou verre irisé
  • du fil et une aiguille

Commencez par découper des ronds, des fleurs et des carrés arrondis dans le feutre et le kraft, une quinzaine en tout, en veillant à les alterner et les organiser pour obtenir un crescendo de tailles du bas vers le haut. Pour les fondus de scrap, l’utilisation de la Big Shot et de sizzlits est très efficace. Ces derniers ne coupent pas complètement le feutre mais les entament suffisamment pour finir le découpage proprement. Il faut juste faire attention à bien calibrer les épaisseurs dans la machine afin de ne pas forcer. J’ai terminé en poinçonnant harmonieusement les contours.

J’ai ensuite préparé les boutons progressivement tout en commençant à monter le sapin pour visualiser le tout. Les boutons servent d’intercalaires afin d’espacer les tags en feutrine et en kraft. Des petites perles en bois peuvent aussi faire l’affaire.

L’assemblage provisoire terminé je l’ai démonté* pour ajouter les motifs peints en blanc et quelques points argentés. Ici laissez l’imagination et vos goûts personnels guider votre main. Quelques essais sur des chutes de découpage peuvent aussi éviter les « boulettes ». J’ai cousu les petites perles: des toupies irisées, des perles en verre de bohême blanc laiteux irisé et quelques unes en gris hématite.

*Petite astuce: avant de démonter mon assemblage provisoire, j’ai fait une petite photo afin de pouvoir remonter le sapin facilement!

Hop! On remonte le tout en doublant ou triplant le fil afin d’assurer la solidité. Et on termine par une petite perle au sommet.
Pour l’anecdote, j’avais offert ce petit sapin, ainsi qu’un autre décoré façon scrap, en cadeau de Noël à l’une de mes belles-soeurs qui apprécie le fait-main et les objets délicats.

Le second sapin sera détaillé dans un prochain post! 🙂